LES EXPOSITIONS
- Tutte le mostre
- m.a.x. museo
- Museo d'arte Mendrisio
- Museo Vincenzo Vela
- Pinacoteca cantonale Giovanni Züst
- Teatro dell'architettura Mendrisio
COLLEZIONE PRINCIPALE
Museo Vincenzo Vela
Il Museo Vincenzo Vela appartiene al novero delle più importanti case d’artista dell’Ottocento europeo. Ideata dal grande scultore realista ticinese Vincenzo Vela (1820-91) all’apice della sua carriera e trasformata in museo pubblico dopo la sua donazione allo Stato elvetico, accanto alla gipsoteca monumentale di Vincenzo Vela, il museo conserva i lasciti dello scultore Lorenzo Vela (1812-97) e del pittore Spartaco Vela (1854-95), una notevole quadreria ottocentesca di pittura lombarda e piemonetese, nonché centinaia di disegni autografi e una delle più antiche collezioni fotografiche private svizzere.
Arte e storia dell’Ottocento italiano e svizzero si intrecciano in un unicum, attraverso i magnifici ritratti dei protagonisti del Risorgimento, mentre la presenza di alcuni elementi che ricordano il carattere privato della residenza e il parco panoramico, conferiscono a questo luogo il carattere di opera d’arte totale. Ristrutturato interamente dall’architetto Mario Botta, il museo è ubicato ai piedi del Monte San Giorgio (patrimonio Unesco per l’umanità), a 500 m dal confine con l’Italia. Vi vengono organizzate regolarmente delle mostre temporanee.
Mostra permanente. Orari
martedì – venerdì
10.00 – 17.00 (gennaio – maggio)
10.00 – 18.00 (giugno – settembre)
10.00 – 17.00 (ottobre – novembre) sabato e domenica
10.00 – 18.00 Chiuso il lunedì. >>> Informazioni su aperture e chiusure specialiMUSÉE TRANSPARENT
Museo d’arte Mendrisio
Transparents Les « transparents » sont des appareils éphémères liés aux processions historiques de la Semaine sainte de Mendrisio, documentées au moins depuis le XVIIe siècle. Les premières grandes « arches lumineuses » ou « lanternes » suspendues dans les rues n’apparaissent qu’en 1791, comme l’indique Don Ambrogio Torriani dans une lettre. C’est presque certainement le frère servite Antonio Maria Baroffio (1732-1798) du couvent de San Giovanni qui a introduit cette tradition. Bien que les « transparents » aient été immédiatement gérés par les Servantes de Marie et conservés au Couvent, ils ont toujours été payés par des particuliers et, à partir de 1794, également par l’autorité municipale de Mendrisio, qui avait également la tâche d’organiser leur exposition. Depuis la suppression du couvent en 1852 jusqu’à aujourd’hui, la municipalité de Mendrisio, propriétaire de presque toutes les œuvres – dont certaines ont ensuite été reçues en donation par les familles qui les avaient commandées – s’est toujours chargée de les présenter dans les rues du Borgo à l’occasion des processions de la Semaine Sainte. La première série de « portes » a été achevée entre 1791 et 1792 : le style évident, les inscriptions et les dates peintes sur certains cadres indiquent que Giovanni Battista Bagutti de Rovio (1742-1823) est peut-être l’auteur de la première série originale. Chaque façade présentait une scène centrale flanquée de deux figures de prophètes, dont les textes étaient liés au sujet représenté. Outre les scènes de la Passion du Christ, au moins deux épisodes de la « Passion de Marie » ont été illustrés. Dans les mêmes années, il a également signé et daté le groupe de 4 « pilastres » de la façade de San Giovanni et la série de 6 « voiles » pour la façade du couvent de San Giovanni. On lui attribue également le « placard » au-dessus de la porte de l’église, l’arc avec les anges, les 4 « temples » avec les prophètes et les 4 ensembles de lampadaires. Les premières œuvres documentées après celles de Bagutti sont une série de 12 « lanternes » que la municipalité de Mendrisio a payées en 1838 à Augusto Catenazzi, pour être placées sur des « poteaux » le long de l’actuel Corso bello. Une fois qu’elles eurent disparu, ou qu’elles ne furent plus identifiables, en 1949, une commission similaire chargea Mario Gilardi de réaliser autant de « lanternes fixes » à placer dans l’avenue bordée d’arbres qui mène à l’église de San Francesco dei Cappuccini, à l’extrémité sud du parcours processionnel. Tour virtuel des Processions historiques L’histoire de Casa Croci L’architecte Antonio Croci (1823-1884) a étudié l’architecture à l’Accademia delle Belle Arti de Milan, où il s’est distingué en remportant le premier prix d’un concours d' »Invention architecturale ».
Il a longtemps vécu en Turquie, où il a travaillé pour la cour de Constantinople. De nombreuses incertitudes subsistent à son sujet et sur son travail : les archives contenant les plans de ses ateliers, conservées par un parent éloigné car Croci était resté célibataire et n’avait pas d’héritiers directs, ont été envoyées à la casse ; il est presque certain qu’il a travaillé à plusieurs reprises pour le baron russe Von der Wies, notamment pour la construction du château de Valrose à Nice, achevé en 1869 ; entre 1861 et 1865, il a travaillé à la rénovation de l’église de San Giorgio à Ernen et de l’église de Lax, également en Valais en 1874. L’année suivante, il collabore avec Vincenzo Vela (sculpteur 1820-1891) pour le monument équestre dédié au duc de Brunswick, qui ne sera jamais construit et dont la maquette est conservée au musée Vela de Ligornetto.
Après un long séjour en Amérique latine entre 1871 et 1872 à Buenos Aires, Antonio Croci est chargé par la famille Bernasconi de Mendrisio de construire la Villa Argentina à Mendrisio.
En 1858, il a construit sa propre maison à Mendrisio (connue aujourd’hui sous le nom de « Casa Croci ») sur la pente ensoleillée appelée Carlasch (le même bâtiment est encore identifié sous ce nom aujourd’hui. Au fil des ans, d’autres bâtiments ont assiégé la Casa Croci, à l’origine solitaire, cachant l’état de délabrement dans lequel elle avait été abandonnée. Heureusement, dans les années 1970, sa valeur architecturale a été redécouverte. Aujourd’hui, entièrement et finement restauré, il fait partie du patrimoine du catalogue cantonal des monuments, et a été utilisé pour des expositions temporaires.
Depuis 2017, la Casa Croci est le siège du Museo del Trasparente et accueille une exposition permanente qui permet aux visiteurs d’observer de près et tout au long de l’année les précieux objets : au rez-de-chaussée, une section est consacrée aux Processions historiques et à leur histoire ; au premier étage, les différentes typologies qui caractérisent l’exceptionnel appareil décoratif des » transparences » ; au deuxième étage, une section dédiée aux problèmes d’exécution, de conservation et de restauration. Tour virtuel du Musée Transparent Adresse
Casa Croci
Via Municipio
CH – 6850 Mendrisio Horaires d’ouvertures
jeudi et samedi
14.00 – 18.00 du 27 mars au 7 avril 2024
tous les jours
10.00 – 12.00 / 14.00 – 18.00 Jeudi et Vendredi Saint
10.00 – 20.30 Entrée gratuite TONATIUH AMBROSETTI. Ti ho regalato un raggio di luce.
Museo d’arte Mendrisio
L’esposizione Ti ho regalato un raggio di luce riunisce un corpus eterogeno di opere realizzate da Tonatiuh Ambrosetti tra il 2012 e il 2024: immagini fotografiche, disegni a china e una scultura sono posti in dialogo per sviluppare una riflessione sul sentimento di vertigine inscindibile da qualsiasi tentativo di esplorare i poli entro i quali si colloca l’esperienza umana: il cosmo e l’inconscio, due vastità di cui ancora non si conoscono i confini e i cui parametri sono in continuo divenire.
Le sembianze misurate ed essenziali delle opere presentate contrastano con il lirismo del titolo scelto dall’artista per questo progetto. Questa oscillazione si riflette anche nell’approccio formale tramite il quale Ambrosetti dà vita alle sue creazioni: a volte nascono d’istinto, quasi per gioco, in altri casi sono frutto di espedienti tecnici studiati con estrema precisione. Ad accomunare tutti i lavori è la scelta di utilizzare materiali semplici per affrontare tematiche estremamente complesse.
La mostra si inserisce nel programma di eventi Swiss Photomonth 2024 promosso da Spectrum – Photography in Switzerland. Inaugurazione
sabato 14 settembre 2024, ore 18.00
presso Casa Pessina a Ligornetto Periodo espositivo
15.09.2024 – 10.11.2024 Orari
sabato-domenica
14.00 – 18.00 Entrata
Ingresso gratuito MAGGIORI INFOINGEBORG LÜSCHER. Il cielo ancorato alla terra.
Museo d’arte Mendrisio
Mostra a cura di Barbara Paltenghi Malacrida e Francesca Bernasconi. Dal 6 ottobre 2024 al 19 gennaio 2025 il Museo d’arte Mendrisio presenta la prima antologica in territorio ticinese dell’eclettica artista svizzero-germanica Ingeborg Lüscher (1936).
In oltre cinquant’anni di carriera, Ingeborg Lüscher si è imposta grazie alla sua opera multiforme come una delle figure di riferimento dell’orizzonte artistico contemporaneo. Dapprima attrice e in seguito artista poliedrica, istintiva e sperimentatrice, ha saputo catturare l’interesse della scena creativa esponendo in luoghi di grande prestigio, da documenta alla Biennale di Venezia. Le sue opere dimostrano un dialogo profondo con le principali frange avanguardiste del secondo dopoguerra e al tempo stesso testimoniano la distintiva autonomia e originalità di pensiero dell’artista.
Il cielo ancorato alla terra è una mostra il cui titolo rimanda a una dimensione tanto concreta quanto visionaria, rispecchiando le molteplici prospettive dell’intero percorso di Ingeborg Lüscher: un viaggio affascinante che consente al pubblico di riflettere, sorridere, sorprendersi. Inaugurazione
Sabato 5 ottobre 2024, ore 17.00 Periodo espositivo
6.10.2024 – 19.01.2025 Orari
martedì – venerdì
10.00 – 12.00 / 14.00 – 17.00
sabato, domenica e festivi
10.00 – 18.00 Chiuso il lunedì. Entrata
intero: CHF / € 12.-
ridotto: CHF / € 10.- MAGGIORI INFOGIOVANNI PINTORI (1912-1999). Pubblicità come arte.
m.a.x. museo
Mostra a cura di Chiara Gatti e Nicoletta Ossanna Cavadini.
L’esposizione su Giovanni Pintori si inserisce nel filone dei maestri del “graphic design”. Il m.a.x. museo di Chiasso, in collaborazione con il MAN – Museo d’Arte Provincia di Nuoro, presenta una mostra su questo artista, indagandolo attraverso una sorta di “racconto grafico” ed evidenziandone la modernità progettuale e le scelte creative. Queste ultime, sono sempre costruite in modo preciso e consapevole, pur inserite in un percorso dinamico e fluido. Luce, colore, composizione e gioco creativo costituiscono i suoi ambiti di ricerca principali, che conducono la sua grafica “alla ribalta come unicum metaforico della comunicazione”, per dirlo con le parole di Paul Rand.
La mostra al m.a.x. museo ripercorre l’iter creativo e professionale dell’artista, mostrando il processo ideativo dal quale sono scaturiti i progetti che ne hanno caratterizzato la carriera, che va dalla creazione di manifesti, alle locandine, al corporate identity, a logotipi per le imprese. In mostra sono esposti, organizzati con un criterio tematico-cronologico, oltre centocinquanta pezzi fra schizzi, bozzetti, disegni acquerellati, carte intestate, manifesti, pubblicazioni varie. Giovanni Pintori nasce nel 1912 a Tresnuraghes (Oristano). Dopo aver frequentato l’ISIA (Istituto Superiore Industrie Artistiche di Monza) assieme ai conterranei Salvatore Fancello e Costantino Nivola, nel 1936 inizia la collaborazione con l’Ufficio Tecnico Pubblicità Olivetti, del quale diventa responsabile nel 1940, legando il suo nome all’immagine della azienda di Ivrea in una lunga e fortunata serie di manifesti, pagine pubblicitarie, insegne esterne, stand. Nel 1950 ottiene il primo di un lungo elenco di riconoscimenti: la Palma d’Oro della Federazione Italiana Pubblicità e diventa Art Director dell’Olivetti, potendo godere della stima e del rapporto diretto con Adriano Olivetti. Nel 1962 (due anni dopo la scomparsa di Adriano Olivetti) Pintori ottiene un altro prestigioso riconoscimento internazionale: il Typographic Excellence Award del Type Directors Club di New York, seguito, nel 1964, dal Certificate of Merit dell’Art Directors Club di New York. Nel 1966 gli viene dedicata una grande mostra personale a Tokyo. Muore a Milano il 15 novembre del 1999 e lascia un archivio fotografico e documentario di fondamentale importanza per lo studio della grafica pubblicitaria legata all’industria nei 5 decenni che vanno dal 1930 al 1980. Inaugurazione
domenica 6 ottobre 2024, ore 18.00 Periodo espositivo
7.10.2024 – 16.02.2025 Orari
martedì − domenica
10.00 − 12.00 / 14.00 − 18.00 Chiuso il lunedì. Aperture speciali
lunedì 7 ottobre 2024 – primo giorno di apertura della mostra
venerdì 1. novembre 2024 – Ognissanti
domenica 8 dicembre 2024 – Immacolata Concezione
giovedì 26 dicembre 2024 – S. Stefano
mercoledì 1. gennaio 2025 – Capodanno
lunedì 6 gennaio 2025 – Epifania Entrata
intero: CHF / € 10.-
ridotto: CHF / € 7.-
Ingresso gratuito ogni prima domenica del mese. MAGGIORI INFOCARLO BOSSOLI. Pittore giramondo tra le corti reali e il magico Oriente.
Pinacoteca Züst
Mostra a cura di Sergio Rebora con il coordinamento scientifico di Mariangela Agliati Ruggia e Alessandra Brambilla. Bossoli (Lugano, 1815 – Torino, 1884) è stato, a cavallo della metà dell’Ottocento, uno degli artisti più apprezzati, e contesi, in Europa. Le sue vedute, i suoi quadri evocativi di vicende storiche, i suoi ritratti erano apprezzati da re – dai Savoia alla regina Vittoria –, principi, dalla migliore nobiltà e dalla borghesia più sofisticata. Chi non poteva permettersi i suoi olii, bellissimi, o le sue tempere, magistrali, ne acquistava sul mercato, soprattutto inglese, le riproduzioni. Editori londinesi pubblicarono l’album “The War in Italy” nel 1859, dove raccontava la Battaglia di Solferino e altri episodi della Guerra d’Indipendenza o “Wiew of the Crimea” (1853).
I Savoia, che lo elevarono a “Nostro pittore di storia”, gli commissionarono ben 150 tra tempere e litografie. Documentano le imprese ferroviarie del Regno, in particolare la nascita della Torino-Genova, ma anche altre vicende storiche. 105 tempere raccontano le guerre piemontesi e nazionali del 1859, 1860 e 1861, gli anni dell’Unità d’Italia. Bossoli è un pittore “girovago”. Si allontana ancora bambino, al seguito della famiglia, dalla natia Lugano, a Odessa. Qui a mettere gli occhi sul giovane artista sono il governatore, conte Michail Voroncov, e sua moglie Elizaveta, che per abbellire la città affidarono lavori di grande prestigio anche ad altre maestranze ticinesi. Nel 1840 torna in Italia, a Milano, artista già di fama; qui documenta, come un vero e proprio reporter, gli avvenimenti delle Cinque Giornate del marzo 1848. Nobili e ricchi borghesi gli commissionano vedute dei loro giardini e dei loro palazzi. È un artista di successo, che però non riesce a resistere a lungo in nessun luogo. Di Paesi ne percorre tanti: Inghilterra, Irlanda, Russia, Spagna, Marocco…. Sono gli anni in cui la vecchia Europa si lascia travolgere dalla magia dell’Oriente e dell’Esotico e lui sa ricreare quelle atmosfere sospese tra sogno, leggenda e realtà in modo perfetto, avendole vissute da vicino e amate.
A contestualizzare l’arte di Bossoli, nella sezione dedicata all’esotismo, sarà ricreata una period room con arredi “alla turca” dell’ebanista piemontese Giuseppe Parvis.
Dal 1853 risiede a Torino con la sorella Giovanna e il nipote Francesco Edoardo (Odessa, 1830 – Torino, 1912), anch’egli artista, a cui è dedicata una sezione in mostra. Qui costruisce un’affascinante dimora in stile orientaleggiante, a ricordo dei suoi numerosi viaggi.
Muore nella capitale piemontese ma, per sua esplicita richiesta, viene seppellito nel Cimitero di Lugano, la patria che nonostante la vita cosmopolita, non aveva mai smesso di frequentare e di amare. La mostra riunisce più di 100 opere dell’artista e di suo nipote, a documentare tutti i molteplici aspetti della sua arte. Sono prestiti concessi da istituzioni pubbliche italiane e svizzere e da importanti collezioni private. Molte sono esposte per la prima volta. Periodo espositivo
20.10.2024 – 23.02.2025 Orari
martedì – venerdì
9:00 – 12:00 / 14:00 – 17:00
sabato – domenica
10:00 – 12:00 / 14:00 – 18:00 Chiuso il lunedì. Entrata
intero: CHF 10.-
ridotto: CHF 8.-
scuole, ragazzi fino a 16 anni: Gratuito MAGGIORI INFOGIOVANNI PINTORI (1912-1999). Pubblicità come arte.
m.a.x. museo
Mostra a cura di Chiara Gatti e Nicoletta Ossanna Cavadini.
L’esposizione su Giovanni Pintori si inserisce nel filone dei maestri del “graphic design”. Il m.a.x. museo di Chiasso, in collaborazione con il MAN – Museo d’Arte Provincia di Nuoro, presenta una mostra su questo artista, indagandolo attraverso una sorta di “racconto grafico” ed evidenziandone la modernità progettuale e le scelte creative. Queste ultime, sono sempre costruite in modo preciso e consapevole, pur inserite in un percorso dinamico e fluido. Luce, colore, composizione e gioco creativo costituiscono i suoi ambiti di ricerca principali, che conducono la sua grafica “alla ribalta come unicum metaforico della comunicazione”, per dirlo con le parole di Paul Rand.
La mostra al m.a.x. museo ripercorre l’iter creativo e professionale dell’artista, mostrando il processo ideativo dal quale sono scaturiti i progetti che ne hanno caratterizzato la carriera, che va dalla creazione di manifesti, alle locandine, al corporate identity, a logotipi per le imprese. In mostra sono esposti, organizzati con un criterio tematico-cronologico, oltre centocinquanta pezzi fra schizzi, bozzetti, disegni acquerellati, carte intestate, manifesti, pubblicazioni varie. Giovanni Pintori nasce nel 1912 a Tresnuraghes (Oristano). Dopo aver frequentato l’ISIA (Istituto Superiore Industrie Artistiche di Monza) assieme ai conterranei Salvatore Fancello e Costantino Nivola, nel 1936 inizia la collaborazione con l’Ufficio Tecnico Pubblicità Olivetti, del quale diventa responsabile nel 1940, legando il suo nome all’immagine della azienda di Ivrea in una lunga e fortunata serie di manifesti, pagine pubblicitarie, insegne esterne, stand. Nel 1950 ottiene il primo di un lungo elenco di riconoscimenti: la Palma d’Oro della Federazione Italiana Pubblicità e diventa Art Director dell’Olivetti, potendo godere della stima e del rapporto diretto con Adriano Olivetti. Nel 1962 (due anni dopo la scomparsa di Adriano Olivetti) Pintori ottiene un altro prestigioso riconoscimento internazionale: il Typographic Excellence Award del Type Directors Club di New York, seguito, nel 1964, dal Certificate of Merit dell’Art Directors Club di New York. Nel 1966 gli viene dedicata una grande mostra personale a Tokyo. Muore a Milano il 15 novembre del 1999 e lascia un archivio fotografico e documentario di fondamentale importanza per lo studio della grafica pubblicitaria legata all’industria nei 5 decenni che vanno dal 1930 al 1980. Inaugurazione
domenica 6 ottobre 2024, ore 18.00 Periodo espositivo
7.10.2024 – 16.02.2025 Orari
martedì − domenica
10.00 − 12.00 / 14.00 − 18.00 Chiuso il lunedì. Aperture speciali
lunedì 7 ottobre 2024 – primo giorno di apertura della mostra
venerdì 1. novembre 2024 – Ognissanti
domenica 8 dicembre 2024 – Immacolata Concezione
giovedì 26 dicembre 2024 – S. Stefano
mercoledì 1. gennaio 2025 – Capodanno
lunedì 6 gennaio 2025 – Epifania Entrata
intero: CHF / € 10.-
ridotto: CHF / € 7.-
Ingresso gratuito ogni prima domenica del mese. MAGGIORI INFOMUSÉE TRANSPARENT
Museo d’arte Mendrisio
Transparents Les « transparents » sont des appareils éphémères liés aux processions historiques de la Semaine sainte de Mendrisio, documentées au moins depuis le XVIIe siècle. Les premières grandes « arches lumineuses » ou « lanternes » suspendues dans les rues n’apparaissent qu’en 1791, comme l’indique Don Ambrogio Torriani dans une lettre. C’est presque certainement le frère servite Antonio Maria Baroffio (1732-1798) du couvent de San Giovanni qui a introduit cette tradition. Bien que les « transparents » aient été immédiatement gérés par les Servantes de Marie et conservés au Couvent, ils ont toujours été payés par des particuliers et, à partir de 1794, également par l’autorité municipale de Mendrisio, qui avait également la tâche d’organiser leur exposition. Depuis la suppression du couvent en 1852 jusqu’à aujourd’hui, la municipalité de Mendrisio, propriétaire de presque toutes les œuvres – dont certaines ont ensuite été reçues en donation par les familles qui les avaient commandées – s’est toujours chargée de les présenter dans les rues du Borgo à l’occasion des processions de la Semaine Sainte. La première série de « portes » a été achevée entre 1791 et 1792 : le style évident, les inscriptions et les dates peintes sur certains cadres indiquent que Giovanni Battista Bagutti de Rovio (1742-1823) est peut-être l’auteur de la première série originale. Chaque façade présentait une scène centrale flanquée de deux figures de prophètes, dont les textes étaient liés au sujet représenté. Outre les scènes de la Passion du Christ, au moins deux épisodes de la « Passion de Marie » ont été illustrés. Dans les mêmes années, il a également signé et daté le groupe de 4 « pilastres » de la façade de San Giovanni et la série de 6 « voiles » pour la façade du couvent de San Giovanni. On lui attribue également le « placard » au-dessus de la porte de l’église, l’arc avec les anges, les 4 « temples » avec les prophètes et les 4 ensembles de lampadaires. Les premières œuvres documentées après celles de Bagutti sont une série de 12 « lanternes » que la municipalité de Mendrisio a payées en 1838 à Augusto Catenazzi, pour être placées sur des « poteaux » le long de l’actuel Corso bello. Une fois qu’elles eurent disparu, ou qu’elles ne furent plus identifiables, en 1949, une commission similaire chargea Mario Gilardi de réaliser autant de « lanternes fixes » à placer dans l’avenue bordée d’arbres qui mène à l’église de San Francesco dei Cappuccini, à l’extrémité sud du parcours processionnel. Tour virtuel des Processions historiques L’histoire de Casa Croci L’architecte Antonio Croci (1823-1884) a étudié l’architecture à l’Accademia delle Belle Arti de Milan, où il s’est distingué en remportant le premier prix d’un concours d' »Invention architecturale ».
Il a longtemps vécu en Turquie, où il a travaillé pour la cour de Constantinople. De nombreuses incertitudes subsistent à son sujet et sur son travail : les archives contenant les plans de ses ateliers, conservées par un parent éloigné car Croci était resté célibataire et n’avait pas d’héritiers directs, ont été envoyées à la casse ; il est presque certain qu’il a travaillé à plusieurs reprises pour le baron russe Von der Wies, notamment pour la construction du château de Valrose à Nice, achevé en 1869 ; entre 1861 et 1865, il a travaillé à la rénovation de l’église de San Giorgio à Ernen et de l’église de Lax, également en Valais en 1874. L’année suivante, il collabore avec Vincenzo Vela (sculpteur 1820-1891) pour le monument équestre dédié au duc de Brunswick, qui ne sera jamais construit et dont la maquette est conservée au musée Vela de Ligornetto.
Après un long séjour en Amérique latine entre 1871 et 1872 à Buenos Aires, Antonio Croci est chargé par la famille Bernasconi de Mendrisio de construire la Villa Argentina à Mendrisio.
En 1858, il a construit sa propre maison à Mendrisio (connue aujourd’hui sous le nom de « Casa Croci ») sur la pente ensoleillée appelée Carlasch (le même bâtiment est encore identifié sous ce nom aujourd’hui. Au fil des ans, d’autres bâtiments ont assiégé la Casa Croci, à l’origine solitaire, cachant l’état de délabrement dans lequel elle avait été abandonnée. Heureusement, dans les années 1970, sa valeur architecturale a été redécouverte. Aujourd’hui, entièrement et finement restauré, il fait partie du patrimoine du catalogue cantonal des monuments, et a été utilisé pour des expositions temporaires.
Depuis 2017, la Casa Croci est le siège du Museo del Trasparente et accueille une exposition permanente qui permet aux visiteurs d’observer de près et tout au long de l’année les précieux objets : au rez-de-chaussée, une section est consacrée aux Processions historiques et à leur histoire ; au premier étage, les différentes typologies qui caractérisent l’exceptionnel appareil décoratif des » transparences » ; au deuxième étage, une section dédiée aux problèmes d’exécution, de conservation et de restauration. Tour virtuel du Musée Transparent Adresse
Casa Croci
Via Municipio
CH – 6850 Mendrisio Horaires d’ouvertures
jeudi et samedi
14.00 – 18.00 du 27 mars au 7 avril 2024
tous les jours
10.00 – 12.00 / 14.00 – 18.00 Jeudi et Vendredi Saint
10.00 – 20.30 Entrée gratuite TONATIUH AMBROSETTI. Ti ho regalato un raggio di luce.
Museo d’arte Mendrisio
L’esposizione Ti ho regalato un raggio di luce riunisce un corpus eterogeno di opere realizzate da Tonatiuh Ambrosetti tra il 2012 e il 2024: immagini fotografiche, disegni a china e una scultura sono posti in dialogo per sviluppare una riflessione sul sentimento di vertigine inscindibile da qualsiasi tentativo di esplorare i poli entro i quali si colloca l’esperienza umana: il cosmo e l’inconscio, due vastità di cui ancora non si conoscono i confini e i cui parametri sono in continuo divenire.
Le sembianze misurate ed essenziali delle opere presentate contrastano con il lirismo del titolo scelto dall’artista per questo progetto. Questa oscillazione si riflette anche nell’approccio formale tramite il quale Ambrosetti dà vita alle sue creazioni: a volte nascono d’istinto, quasi per gioco, in altri casi sono frutto di espedienti tecnici studiati con estrema precisione. Ad accomunare tutti i lavori è la scelta di utilizzare materiali semplici per affrontare tematiche estremamente complesse.
La mostra si inserisce nel programma di eventi Swiss Photomonth 2024 promosso da Spectrum – Photography in Switzerland. Inaugurazione
sabato 14 settembre 2024, ore 18.00
presso Casa Pessina a Ligornetto Periodo espositivo
15.09.2024 – 10.11.2024 Orari
sabato-domenica
14.00 – 18.00 Entrata
Ingresso gratuito MAGGIORI INFOINGEBORG LÜSCHER. Il cielo ancorato alla terra.
Museo d’arte Mendrisio
Mostra a cura di Barbara Paltenghi Malacrida e Francesca Bernasconi. Dal 6 ottobre 2024 al 19 gennaio 2025 il Museo d’arte Mendrisio presenta la prima antologica in territorio ticinese dell’eclettica artista svizzero-germanica Ingeborg Lüscher (1936).
In oltre cinquant’anni di carriera, Ingeborg Lüscher si è imposta grazie alla sua opera multiforme come una delle figure di riferimento dell’orizzonte artistico contemporaneo. Dapprima attrice e in seguito artista poliedrica, istintiva e sperimentatrice, ha saputo catturare l’interesse della scena creativa esponendo in luoghi di grande prestigio, da documenta alla Biennale di Venezia. Le sue opere dimostrano un dialogo profondo con le principali frange avanguardiste del secondo dopoguerra e al tempo stesso testimoniano la distintiva autonomia e originalità di pensiero dell’artista.
Il cielo ancorato alla terra è una mostra il cui titolo rimanda a una dimensione tanto concreta quanto visionaria, rispecchiando le molteplici prospettive dell’intero percorso di Ingeborg Lüscher: un viaggio affascinante che consente al pubblico di riflettere, sorridere, sorprendersi. Inaugurazione
Sabato 5 ottobre 2024, ore 17.00 Periodo espositivo
6.10.2024 – 19.01.2025 Orari
martedì – venerdì
10.00 – 12.00 / 14.00 – 17.00
sabato, domenica e festivi
10.00 – 18.00 Chiuso il lunedì. Entrata
intero: CHF / € 12.-
ridotto: CHF / € 10.- MAGGIORI INFOCOLLEZIONE PRINCIPALE
Museo Vincenzo Vela
Il Museo Vincenzo Vela appartiene al novero delle più importanti case d’artista dell’Ottocento europeo. Ideata dal grande scultore realista ticinese Vincenzo Vela (1820-91) all’apice della sua carriera e trasformata in museo pubblico dopo la sua donazione allo Stato elvetico, accanto alla gipsoteca monumentale di Vincenzo Vela, il museo conserva i lasciti dello scultore Lorenzo Vela (1812-97) e del pittore Spartaco Vela (1854-95), una notevole quadreria ottocentesca di pittura lombarda e piemonetese, nonché centinaia di disegni autografi e una delle più antiche collezioni fotografiche private svizzere.
Arte e storia dell’Ottocento italiano e svizzero si intrecciano in un unicum, attraverso i magnifici ritratti dei protagonisti del Risorgimento, mentre la presenza di alcuni elementi che ricordano il carattere privato della residenza e il parco panoramico, conferiscono a questo luogo il carattere di opera d’arte totale. Ristrutturato interamente dall’architetto Mario Botta, il museo è ubicato ai piedi del Monte San Giorgio (patrimonio Unesco per l’umanità), a 500 m dal confine con l’Italia. Vi vengono organizzate regolarmente delle mostre temporanee.
Mostra permanente. Orari
martedì – venerdì
10.00 – 17.00 (gennaio – maggio)
10.00 – 18.00 (giugno – settembre)
10.00 – 17.00 (ottobre – novembre) sabato e domenica
10.00 – 18.00 Chiuso il lunedì. >>> Informazioni su aperture e chiusure specialiCARLO BOSSOLI. Pittore giramondo tra le corti reali e il magico Oriente.
Pinacoteca Züst
Mostra a cura di Sergio Rebora con il coordinamento scientifico di Mariangela Agliati Ruggia e Alessandra Brambilla. Bossoli (Lugano, 1815 – Torino, 1884) è stato, a cavallo della metà dell’Ottocento, uno degli artisti più apprezzati, e contesi, in Europa. Le sue vedute, i suoi quadri evocativi di vicende storiche, i suoi ritratti erano apprezzati da re – dai Savoia alla regina Vittoria –, principi, dalla migliore nobiltà e dalla borghesia più sofisticata. Chi non poteva permettersi i suoi olii, bellissimi, o le sue tempere, magistrali, ne acquistava sul mercato, soprattutto inglese, le riproduzioni. Editori londinesi pubblicarono l’album “The War in Italy” nel 1859, dove raccontava la Battaglia di Solferino e altri episodi della Guerra d’Indipendenza o “Wiew of the Crimea” (1853).
I Savoia, che lo elevarono a “Nostro pittore di storia”, gli commissionarono ben 150 tra tempere e litografie. Documentano le imprese ferroviarie del Regno, in particolare la nascita della Torino-Genova, ma anche altre vicende storiche. 105 tempere raccontano le guerre piemontesi e nazionali del 1859, 1860 e 1861, gli anni dell’Unità d’Italia. Bossoli è un pittore “girovago”. Si allontana ancora bambino, al seguito della famiglia, dalla natia Lugano, a Odessa. Qui a mettere gli occhi sul giovane artista sono il governatore, conte Michail Voroncov, e sua moglie Elizaveta, che per abbellire la città affidarono lavori di grande prestigio anche ad altre maestranze ticinesi. Nel 1840 torna in Italia, a Milano, artista già di fama; qui documenta, come un vero e proprio reporter, gli avvenimenti delle Cinque Giornate del marzo 1848. Nobili e ricchi borghesi gli commissionano vedute dei loro giardini e dei loro palazzi. È un artista di successo, che però non riesce a resistere a lungo in nessun luogo. Di Paesi ne percorre tanti: Inghilterra, Irlanda, Russia, Spagna, Marocco…. Sono gli anni in cui la vecchia Europa si lascia travolgere dalla magia dell’Oriente e dell’Esotico e lui sa ricreare quelle atmosfere sospese tra sogno, leggenda e realtà in modo perfetto, avendole vissute da vicino e amate.
A contestualizzare l’arte di Bossoli, nella sezione dedicata all’esotismo, sarà ricreata una period room con arredi “alla turca” dell’ebanista piemontese Giuseppe Parvis.
Dal 1853 risiede a Torino con la sorella Giovanna e il nipote Francesco Edoardo (Odessa, 1830 – Torino, 1912), anch’egli artista, a cui è dedicata una sezione in mostra. Qui costruisce un’affascinante dimora in stile orientaleggiante, a ricordo dei suoi numerosi viaggi.
Muore nella capitale piemontese ma, per sua esplicita richiesta, viene seppellito nel Cimitero di Lugano, la patria che nonostante la vita cosmopolita, non aveva mai smesso di frequentare e di amare. La mostra riunisce più di 100 opere dell’artista e di suo nipote, a documentare tutti i molteplici aspetti della sua arte. Sono prestiti concessi da istituzioni pubbliche italiane e svizzere e da importanti collezioni private. Molte sono esposte per la prima volta. Periodo espositivo
20.10.2024 – 23.02.2025 Orari
martedì – venerdì
9:00 – 12:00 / 14:00 – 17:00
sabato – domenica
10:00 – 12:00 / 14:00 – 18:00 Chiuso il lunedì. Entrata
intero: CHF 10.-
ridotto: CHF 8.-
scuole, ragazzi fino a 16 anni: Gratuito MAGGIORI INFO