
COLLEZIONE DEL MUSEO VINCENZO VELA
Museo Vincenzo Vela
Il Museo Vincenzo Vela appartiene al novero delle più importanti case d’artista dell’Ottocento europeo. Ideata dal grande scultore realista ticinese Vincenzo Vela (1820-91) all’apice della sua carriera e trasformata in museo pubblico dopo la sua donazione allo Stato elvetico, accanto alla gipsoteca monumentale di Vincenzo Vela, il museo conserva i lasciti dello scultore Lorenzo Vela (1812-97) e del pittore Spartaco Vela (1854-95), una notevole quadreria ottocentesca di pittura lombarda e piemonetese, nonché centinaia di disegni autografi e una delle più antiche collezioni fotografiche private svizzere.
Arte e storia dell’Ottocento italiano e svizzero si intrecciano in un unicum, attraverso i magnifici ritratti dei protagonisti del Risorgimento, mentre la presenza di alcuni elementi che ricordano il carattere privato della residenza e il parco panoramico, conferiscono a questo luogo il carattere di opera d’arte totale. Ristrutturato interamente dall’architetto Mario Botta, il museo è ubicato ai piedi del Monte San Giorgio (patrimonio Unesco per l’umanità), a 500 m dal confine con l’Italia. Vi vengono organizzate regolarmente delle mostre temporanee.
Mostra permanente.
Orari
martedì – venerdì
10.00 – 17.00 (gennaio – maggio)
10.00 – 18.00 (giugno – settembre)
10.00 – 17.00 (ottobre – novembre)
sabato e domenica
10.00 – 18.00
Chiuso il lunedì.
Entrata gratuita tutti i mercoledì.
>>> Informazioni su aperture e chiusure speciali
MUSÉE TRANSPARENT
Museo d’arte Mendrisio
Transparents
Les « transparents » sont des appareils éphémères liés aux processions historiques de la Semaine sainte de Mendrisio, documentées au moins depuis le XVIIe siècle. Les premières grandes « arches lumineuses » ou « lanternes » suspendues dans les rues n’apparaissent qu’en 1791, comme l’indique Don Ambrogio Torriani dans une lettre. C’est presque certainement le frère servite Antonio Maria Baroffio (1732-1798) du couvent de San Giovanni qui a introduit cette tradition.
Bien que les « transparents » aient été immédiatement gérés par les Servantes de Marie et conservés au Couvent, ils ont toujours été payés par des particuliers et, à partir de 1794, également par l’autorité municipale de Mendrisio, qui avait également la tâche d’organiser leur exposition. Depuis la suppression du couvent en 1852 jusqu’à aujourd’hui, la municipalité de Mendrisio, propriétaire de presque toutes les œuvres – dont certaines ont ensuite été reçues en donation par les familles qui les avaient commandées – s’est toujours chargée de les présenter dans les rues du Borgo à l’occasion des processions de la Semaine Sainte.
La première série de « portes » a été achevée entre 1791 et 1792 : le style évident, les inscriptions et les dates peintes sur certains cadres indiquent que Giovanni Battista Bagutti de Rovio (1742-1823) est peut-être l’auteur de la première série originale. Chaque façade présentait une scène centrale flanquée de deux figures de prophètes, dont les textes étaient liés au sujet représenté. Outre les scènes de la Passion du Christ, au moins deux épisodes de la « Passion de Marie » ont été illustrés. Dans les mêmes années, il a également signé et daté le groupe de 4 « pilastres » de la façade de San Giovanni et la série de 6 « voiles » pour la façade du couvent de San Giovanni. On lui attribue également le « placard » au-dessus de la porte de l’église, l’arc avec les anges, les 4 « temples » avec les prophètes et les 4 ensembles de lampadaires.
Les premières œuvres documentées après celles de Bagutti sont une série de 12 « lanternes » que la municipalité de Mendrisio a payées en 1838 à Augusto Catenazzi, pour être placées sur des « poteaux » le long de l’actuel Corso bello. Une fois qu’elles eurent disparu, ou qu’elles ne furent plus identifiables, en 1949, une commission similaire chargea Mario Gilardi de réaliser autant de « lanternes fixes » à placer dans l’avenue bordée d’arbres qui mène à l’église de San Francesco dei Cappuccini, à l’extrémité sud du parcours processionnel.
Tour virtuel des Processions historiques
L’histoire de Casa Croci
L’architecte Antonio Croci (1823-1884) a étudié l’architecture à l’Accademia delle Belle Arti de Milan, où il s’est distingué en remportant le premier prix d’un concours d' »Invention architecturale ».
Il a longtemps vécu en Turquie, où il a travaillé pour la cour de Constantinople. De nombreuses incertitudes subsistent à son sujet et sur son travail : les archives contenant les plans de ses ateliers, conservées par un parent éloigné car Croci était resté célibataire et n’avait pas d’héritiers directs, ont été envoyées à la casse ; il est presque certain qu’il a travaillé à plusieurs reprises pour le baron russe Von der Wies, notamment pour la construction du château de Valrose à Nice, achevé en 1869 ; entre 1861 et 1865, il a travaillé à la rénovation de l’église de San Giorgio à Ernen et de l’église de Lax, également en Valais en 1874. L’année suivante, il collabore avec Vincenzo Vela (sculpteur 1820-1891) pour le monument équestre dédié au duc de Brunswick, qui ne sera jamais construit et dont la maquette est conservée au musée Vela de Ligornetto.
Après un long séjour en Amérique latine entre 1871 et 1872 à Buenos Aires, Antonio Croci est chargé par la famille Bernasconi de Mendrisio de construire la Villa Argentina à Mendrisio.
En 1858, il a construit sa propre maison à Mendrisio (connue aujourd’hui sous le nom de « Casa Croci ») sur la pente ensoleillée appelée Carlasch (le même bâtiment est encore identifié sous ce nom aujourd’hui. Au fil des ans, d’autres bâtiments ont assiégé la Casa Croci, à l’origine solitaire, cachant l’état de délabrement dans lequel elle avait été abandonnée. Heureusement, dans les années 1970, sa valeur architecturale a été redécouverte. Aujourd’hui, entièrement et finement restauré, il fait partie du patrimoine du catalogue cantonal des monuments, et a été utilisé pour des expositions temporaires.
Depuis 2017, la Casa Croci est le siège du Museo del Trasparente et accueille une exposition permanente qui permet aux visiteurs d’observer de près et tout au long de l’année les précieux objets : au rez-de-chaussée, une section est consacrée aux Processions historiques et à leur histoire ; au premier étage, les différentes typologies qui caractérisent l’exceptionnel appareil décoratif des » transparences » ; au deuxième étage, une section dédiée aux problèmes d’exécution, de conservation et de restauration.
Tour virtuel du Musée Transparent
Adresse
Casa Croci
Via Municipio
CH – 6850 Mendrisio
Horaires d’ouvertures
jeudi et samedi
14.00 – 18.00
du 27 mars au 7 avril 2024
tous les jours
10.00 – 12.00 / 14.00 – 18.00
Jeudi et Vendredi Saint
10.00 – 20.30
Entrée gratuite 
SWISSCERAMICS. Uno sguardo sulla ceramica svizzera contemporanea
Museo Vincenzo Vela
Mostra a cura di Hanspeter Dähler.
In collaborazione con l’associazione swissceramics, il Museo Vincenzo Vela presenta una panoramica della produzione artistica e contemporanea della ceramica in Svizzera.
Le opere in mostra, selezionate nell’ambito di un concorso nazionale, tracciano un percorso in cui si riflettono tematiche e linguaggi variegati: dal rapporto tra natura, cultura e sostenibilità, all’esplorazione di questioni tecniche e formali, fino alla ricerca di modulazioni cromatiche, ritmiche e spaziali. Un invito a scoprire la ricchezza di un medium tanto ancestrale quanto complesso.
Opere di: Valérie Alonso, Doris Althaus, Christine Aschwanden, Suzy Balkert, Simona Bellini, Piera Buchli, Angela Burkhardt-Guallini, Margareta Daepp, Sonja Décaillet, Rita De Nigris, Esther Dietwiler, Erika Fankhauser Schürch, Estelle Gassmann, Lea Georg, Laure Gonthier, Noémi Handrick, Sophie Honegger, Timothée Maire, Sibylle Meier, Stefanie Montagna, Marie-Blanche Nordmann, Anja Ripoll, Laurin Schaub, Maude Schneider e Michela Torricelli.
Inaugurazione
Sabato 21 giugno 2025, 17.00
Periodo espositivo
22.06.2025 – 11.01.2026
Orari
martedì – venerdì
10.00-18.00
sabato – domenica
10.00-18.00
Chiuso il lunedì.
Aperture speciali
1°, 15 agosto
1° novembre
8, 26 dicembre
6 gennaio
Entrata
intero: CHF 10.-
ridotto: CHF 8.-
Entrata gratuita tutti i mercoledì.
MAGGIORI INFO
📷 Stefanie Montagna, Tredici calici e qualcosa che porta, 2024 (dettaglio)
© Courtesy of the artist / Johannes Keel
VALENTINA PINI. Calibrando l’occhio
Museo Vincenzo Vela
Mostra a cura di Raphael Gygax.
Il Museo propone in quest’occasione un originale incontro e confronto tra le collezioni del Museo e la produzione artistica contemporanea. A partire dall’imponente statua equestre di Carlo II di Brunswick, opera tra le più iconiche di Vincenzo Vela, Valentina Pini sviluppa una riflessione sulla fisicità dei materiali, sulla loro valenza simbolica e capacità di trasformazione. Alternando lavori creati ad hoc a opere realizzate in anni recenti (sculture, video, installazioni), l’artista propone una lettura inedita delle collezioni e dello spazio del Museo, che diviene palcoscenico di narrazioni e contronarrazioni, al confine tra natura e artificio, fragilità e memoria.
Valentina Pini (*1982) vive e lavora a Zurigo. Ha esposto in numerose gallerie e sedi istituzionali in Svizzera e all’estero. Sue opere si trovano in importanti collezioni pubbliche e private.
Inaugurazione
Sabato 21 giugno 2025, 17.00
Periodo espositivo
22.06.2025 – 11.01.2026
Orari
martedì – venerdì
10.00-18.00
sabato – domenica
10.00-18.00
Chiuso il lunedì.
Aperture speciali
1°, 15 agosto
1° novembre
8, 26 dicembre
6 gennaio
Entrata
intero: CHF 10.-
ridotto: CHF 8.-
Entrata gratuita tutti i mercoledì.
MAGGIORI INFO
📷 Valentina Pini, Der Ritter, 2025 (dettaglio)
© Courtesy of the artist
ANGELO TENCHIO (1943-1994) FRA ARTE E GRAFICA
m.a.x. museo
Mostra a cura di Roberto Borghi e Nicoletta Ossanna Cavadini.
Angelo Tenchio (Gera Lario 1943 – Lecco 1994), formatosi come scultore all’Accademia di Belle Arti di Brera, è stato uno degli incisori italiani più significativi della seconda metà del Novecento.
Il suo atelier situato in via Borgovico è stato un luogo d’incontro e di discussione per artisti e collezionisti sia italiani che svizzeri. Mario Radice, Aldo Galli, Roberto Sanesi, Paolo Bellini, Giuliano Collina, Samuele Gabai, Giorgio Bellandi, Pedro Pedrazzini, Gianriccardo Piccoli sono tra gli artisti che vi si sono recati più assiduamente: grazie a queste frequentazioni sono state create delle preziose tirature di incisioni. Un apporto significativo allo sviluppo dell’atelier – fra scambi culturali accompagnati dal sottofondo di musica jazz – è stato fornito da Max Huber, nel ruolo di ispiratore di alcune soluzioni formali innovative oltre che di ideatore dell’impostazione grafica delle cartelle e del logo che rappresenta la rana, cara alla tradizione artistica comasca.
La mostra allo Spazio Officina propone una selezione di circa duecento pregevoli opere grafiche donate dalla signora Elvira Tenchio e le sue figlie Carlotta e Camilla agli Archivi del m.a.x. museo (Centro Internazionale d’Arte e Grafica CIAG) relative alla sua produzione nello studio calcografico Tenchio. Nell’ampio novero di cartelle e di tirature singole realizzate da vari autori spicca un nucleo di oltre cento opere grafiche firmate da Tenchio stesso, di grande levatura tecnica: dall’acquaforte all’acquatinta, dal bulino alla puntasecca. In questi lavori l’artista lariano mette in luce la sua attitudine sperimentale soprattutto nell’utilizzo di colori melangiati, di forme ancestrali dalla forte carica visionaria. La produzione grafica di Tenchio è presentata in relazione al punto di arrivo della sua attività di scultore: due monumentali opere denominate Totem P e Totem T, create in legno nei primi anni Novanta, che fanno anch’esse parte della donazione.
Le altre sezioni della mostra presentano le relazioni artistiche intercorse con pittori contemporanei che avevano instaurato una particolare sintonia con Tenchio, fra i quali gli artisti su menzionati. Le loro tirature sono esposte insieme ad alcune coeve opere su tela o su carta.
Lo Spazio Officina ospita inoltre le matrici in rame e zinco delle grafiche stesse e il torchio utilizzato dall’artista con il quale si terranno dei laboratori rivolti ad adulti e bambini. Grazie alla donazione effettuata dal collaboratore di Tenchio, Paolo Aquilini, è possibile ricostruire dal vivo quel clima di sperimentazione e dialogo che era tanto caro all’artista comasco.
Angelo Tenchio ha vissuto a Como fino alla sua improvvisa scomparsa, avvenuta il 21 aprile 1994. Artista e docente di caratura internazionale, era molto apprezzato da studenti e colleghi. Ha insegnato incisione all’Accademia “A. Galli” di Como e disegno all’Istituto “G. Carducci” della città lariana.
Inaugurazione
Sabato 20 settembre 2025, 17.30
Spazio Officina
Periodo espositivo
21.09.2025—30.11.2025
Orari
martedì − domenica
10.00 − 12.00 / 14.00 − 18.00
Chiuso il lunedì.
MAGGIORI INFO
📷 Angelo Tenchio, Senza titolo, 1979, acquaforte e acquatinta (dettaglio)
Collezione m.a.x. museo, Chiasso
PABLO PICASSO, MAESTRO DELL’INCISIONE
Museo d’arte Mendrisio
Mostra a cura di Barbara Paltenghi Malacrida e Matthias Frehner.
Il Museo d’arte Mendrisio ospita dal 5 ottobre 2025 al 25 gennaio 2026 due mostre monografiche complementari dedicate a due protagonisti della grafica novecentesca: lo spagnolo Pablo Picasso e lo svizzero Markus Raetz. Il progetto intende celebrare la predilezione per la stampa d’arte da parte di due figure che, seppur profondamente diverse nel linguaggio e nella poetica, hanno fatto della sperimentazione calcografica un capitolo fondamentale della loro ricerca. Per entrambi la grafica non rappresentò mai un’espressione secondaria fortemente connessa alla produzione pittorica o scultorea. La mostra dedicata a Picasso permette di ammirare puntesecche, acqueforti, linoleografie, litografie e acquetinte, mentre il percorso espositivo relativo a Raetz è dedicato alla tecnica del bulino e presenta opere in gran parte inedite e mai esposte fino ad oggi: due generazioni a confronto, due artisti osservati attraverso il prisma della loro produzione grafica, ambito meno esplorato ma di grande fascino e importanza per comprendere appieno la complessità delle loro carriere.
La mostra di Picasso è complementare all’esposizione Picasso-Bloch: a unique friendship presentata dalla Graphische Sammlung dell’ETH di Zurigo fino al 9 novembre 2025 e dedicata al profondo legame di amicizia tra Picasso e il grande collezionista svizzero Georges Bloch.
Inaugurazione
Sabato 4 ottobre 2025, 18.00
Periodo espositivo
5.10.2025 – 25.01.2026
Orari
martedì – venerdì
10.00 – 12.00 / 14.00 – 17.00
sabato, domenica e festivi
10.00 – 18.00
Chiuso il lunedì.
Entrata
intero: CHF / € 14.-
ridotto: CHF / € 12.-
Chiusure speciali
24 e 25 dicembre 2025
1 gennaio 2026
MAGGIORI INFO
📷 Pablo Picasso 6.8.1968 II, 1968, acquaforte, Kunsthaus Zürich, Graphische Sammlung
© Succession Picasso, 2025, ProLitteris, Zurich
MARKUS RAETZ. Le incisioni a bulino 1994-2017
Museo d’arte Mendrisio
Mostra a cura di Francesca Bernasconi e Rainer Michael Mason.
Il Museo d’arte Mendrisio ospita dal 5 ottobre 2025 al 25 gennaio 2026 due mostre monografiche complementari dedicate a due protagonisti della grafica novecentesca: lo spagnolo Pablo Picasso e lo svizzero Markus Raetz. Il progetto intende celebrare la predilezione per la stampa d’arte da parte di due figure che, seppur profondamente diverse nel linguaggio e nella poetica, hanno fatto della sperimentazione calcografica un capitolo fondamentale della loro ricerca. Per entrambi la grafica non rappresentò mai un’espressione secondaria fortemente connessa alla produzione pittorica o scultorea. La mostra dedicata a Picasso permette di ammirare puntesecche, acqueforti, linoleografie, litografie e acquetinte, mentre il percorso espositivo relativo a Raetz è dedicato alla tecnica del bulino e presenta opere in gran parte inedite e mai esposte fino ad oggi: due generazioni a confronto, due artisti osservati attraverso il prisma della loro produzione grafica, ambito meno esplorato ma di grande fascino e importanza per comprendere appieno la complessità delle loro carriere.
Inaugurazione
Sabato 4 ottobre 2025, ore 18.00
Periodo espositivo
5.10.2025 – 25.01.2026
Orari
martedì – venerdì
10.00 – 12.00 / 14.00 – 17.00
sabato, domenica e festivi
10.00 – 18.00
Chiuso il lunedì.
Entrata
intero: CHF / € 14.-
ridotto: CHF / € 12.-
Chiusure speciali
24 e 25 dicembre 2025
1 gennaio 2026
MAGGIORI INFO
📷 Markus Raetz, Flugfigur, 2016, bulino (dettaglio)
© Monika Rätz – Nachlass Markus Raetz / 2025, ProLitteris, Zurich
ACCESSORI DI CLASSE. Complementi di moda tra uso quotidiano e identità sociale 1830-1930
Pinacoteca Züst
Mostra a cura di Elisabetta Chiodini con Mariangela Agliati Ruggia.
Da sempre considerati fondamentali per completare l’abbigliamento, cappelli, borse, scarpe, guanti, bastoni, ombrelli, fazzoletti e ventagli non sono solo oggetti d’uso che da secoli ci accompagnano nella nostra quotidianità ma sono anche elementi che contribuiscono a definire lo status e l’appartenenza sociale degli uomini e delle donne che li indossano o che li utilizzano. Spesso associati al lusso e al potere, gli accessori di moda, grazie alle loro fogge ricercate e alla raffinatezza e alla preziosità dei materiali con cui sono realizzati, sottolineano però anche l’irriducibile unicità dei loro possessori.
Attraverso un confronto serrato con la loro rappresentazione nelle opere d’arte dell’epoca, la mostra si propone di illustrare la storia e l’evoluzione di diverse tipologie di accessori e complementi di moda tra gli anni trenta dell’Ottocento e i primi tre decenni del Novecento. Un arco di tempo, quello preso in esame dall’esposizione, che coincide in gran parte con quello che, non a caso, è stato definito il “secolo della borghesia”.
Ad importanti ritratti di rappresentanza, a vivaci e animate scene di genere, a manifesti pubblicitari, figurini, cataloghi di vendita e riviste di moda, lungo il percorso espositivo fanno da controcanto oggetti reali. Oggetti che non sono quasi mai semplici manufatti d’uso quotidiano ma veri e propri testimoni del gusto e della società del tempo, oltre che esempi di grande qualità artigianale.
Dedicata alla produzione e al commercio di cappelli e borse in Ticino tra la fine dell’Ottocento e i primi decenni del Novecento, la sezione finale della mostra si chiude con la figura della stilista Elsa Barberis. Le forme semplificate e moderne dei suoi abiti segnano infatti l’inizio di una nuova stagione della moda e inaugurano una nuova maniera di disegnare e vivere gli accessori.
Tra gli oltre 200 oggetti esposti figurano una sessantina di dipinti e sculture provenienti da collezioni pubbliche e private di autori sia di area ticinese che italiana. Tra loro nomi celebri della storia dell’arte quali Giacomo Balla, Giovanni Boldini, Telemaco Signorini, Mosè Bianchi, Eliseo Sala, Vincenzo Cabianca, Bernardino Pasta, Spartaco Vela, Filippo Franzoni, Adolfo Feragutti Visconti, Luigi Rossi, Vittorio Matteo Corcos e molti altri.
Inaugurazione
sabato 18 ottobre 2025, 17.00
Periodo espositivo
19.10.2025 – 22.02.2026
Orari
Martedì–venerdì
9.00–12.00 / 14.00–17.00
Sabato–domenica e festivi
10.00–12.00 /14.00–18.00
Chiuso il lunedì.
Aperture speciali
sabato 1. novembre
lunedì 8 dicembre
venerdì 26 dicembre
giovedì 1. gennaio
martedì 6 gennaio
Chiusure
24, 25 e 31 dicembre
Entrata
intero: CHF 10.-
ridotto: CHF 8.-
scuole, ragazzi fino a 16 anni: Gratuito
MAGGIORI INFO
📷 Eliseo Sala, Ritratto di Carlo Silvestri, 1850, Galleria d’Arte Moderna, Milano (dettaglio)
SOPHIA LOREN: IL MITO DELLA BELLEZZA DISEGNATO CON LA LUCE
m.a.x. museo
Mostra a cura di Francesco Casetti, Angela Madesani e Nicoletta Ossanna Cavadini.
La mostra Sophia Loren: il mito della bellezza disegnato con la luce si inserisce nel filone che il m.a.x. museo dedica periodicamente alla fotografia. L’esposizione ripercorre, attraverso il concetto di “disegnare con la luce”, le immagini più iconiche che colgono Sophia Loren in momenti peculiari della sua vita, durante le riprese dei suoi celebri film o in contesti più personali, immortalata da alcuni fra i più grandi fotografi dell’epoca. La mostra si coniuga perfettamente con il tema guida del Centro Culturale Chiasso per il 2025-2026, la pulchritudo, intesa nella più ampia accezione del termine, ossia come espressione dell’armonia tra corpo e spirito.
Al m.a.x. museo saranno esposte fotografie vintage e reprint, secondo un criterio tematico-cronologico, avendo sempre quale comune denominatore il tema scelto: complessivamente, circa trecento immagini che abbracciano sessant’anni di vita di Sophia Loren e restituiscono al visitatore le emozioni più profonde che la grande diva ha saputo suscitare, sia nei film (oltre un centinaio) sia nella vita.
Nata a Roma e cresciuta a Pozzuoli (Napoli), Sophia Loren ha scelto di vivere in Svizzera, a Ginevra: l’esposizione vuole valorizzare questa doppia appartenenza, creando un ponte culturale fra Svizzera e Italia. L’evento espositivo gode del patrocinio dell’Ambasciata d’Italia a Berna e del Consolato Generale d’Italia a Lugano.
La mostra è accompagnata da un catalogo in italiano e inglese con un ricco apparato iconografico che riporta tutte le immagini delle opere in mostra e con testi critici di studiosi di caratura internazionale, oltre agli apparati con la biografia dell’attrice.
Inaugurazione
Domenica 26 ottobre 2025, ore 17.30
Periodo espositivo
27.10.2025—08.03.2026
Orari
martedì − domenica
10.00 − 12.00 / 14.00 − 18.00
Chiuso il lunedì.
MAGGIORI INFO
📷 Pierluigi Praturlon, Sophia Loren sul set de La caduta dell’Impero Romano, 1963 (dettaglio)
Collezione Rita e Riccardo Marone, Napoli ©Reporters Associati & Archivi, Roma

STEFANO GRAZIANI. Reality Show
Teatro dell’architettura
Mostra a cura di a cura di Francesco Zanot.
L’esposizione « STEFANO GRAZIANI. Reality Show » propone una selezione di fotografie di Stefano Graziani, alcune preesistenti e altre inedite, che dialogano tra loro senza riferirsi a un unico tema. Architetture, oggetti, natura, città e persone compaiono nelle sue fotografie senza mai imporsi come soggetti dominanti, ma come elementi di una trama complessa e stratificata. Più o meno decifrabili, le fotografie qui presentate stanno insieme perché appartengono allo stesso momento storico, allo stesso tempo: un tempo aperto, sospeso, interrogato. Disfunzionali per scelta, si sottraggono alla logica dell’utile e del necessario, lasciando che lo sguardo e il pensiero si perdano tra deviazioni, dettagli, indizi. Graziani lavora contro le aspettative, costruendo le sue opere come quadri aperti che inducono alla dispersione, alla proliferazione di narrazioni laterali, alla fuga. Tutto quello che si vede è reale, eppure talvolta sembra non esserlo. Graziani riflette sullo statuto della fotografia oggi, dentro il vortice che fa incontrare documentazione e simulazione. Le sue opere sono prove e smentite allo stesso tempo. È la realtà esibita. Esposta. Questa non è una mostra della realtà, ma sulla realtà. Reality show.
Inaugurazione
giovedì 13 novembre 2025, ore 18.30
Periodo espositivo
14.11.2025 – 29.03. 2025
Orari
giovedì – venerdì
14.00-18.00
sabato e domenica
10.00-18.00
lunedì-mercoledì
chiuso (aperto su prenotazione per gruppi)
Chiusura invernale
dal 22 dicembre 2025 al 2 gennaio 2026
Entrata
intero: CHF / € 10.-
ridotto: CHF / € 7.-
Ingresso gratuito ogni prima domenica del mese.
MAGGIORI INFO
📷 Stefano Graziani, Natura morta con pappagalli, Studio Mumbai, Mumbai 2018 (dettaglio)

ARCHISATIRE. Una controstoria dell’architettura
Teatro dell’architettura
A cura di Gabriele Neri, in collaborazione con la Biblioteca dell’Accademia di architettura-USI.
La mostra esplora l’incontro tra satira e architettura attraverso caricature, vignette, fotomontaggi, cartoons, filmati e altre forme d’espressione.Contrapponendo la “gravità” del costruire alla leggerezza – ma anche al carattere dissacrante – della narrazione satirica e umoristica, la mostra propone infatti una chiave di lettura anticonvenzionale, offrendo una “controstoria” delle trasformazioni architettoniche e urbane degli ultimi secoli. Le immagini esposte, spesso concepite per l’effimera vita di giornali e riviste e dirette a un pubblico allargato, rappresentano un originale strumento critico che testimonia l’impatto dell’architettura sulla vita quotidiana, così come il ruolo culturale e sociale della satira e dell’ironia. Tutto ciò viene approfondito in mostra attraverso quattro sezioni che spaziano dalla figura dell’architetto nella caricatura agli « scandali urbani » provocati da grandi progetti; dalla casa « irrazionale » fino ai tanti esempi di architetti che si sono cimentati nell’arte delcartoon. Tra parodia e denuncia, satira e ironia si rivelano lenti preziose per osservare l’architettura da prospettive inattese, invitando lo spettatore e l’architetto a riflettere sul vero significato dei concetti di progettare e abitare.
Inaugurazione
giovedì 13 novembre 2025, ore 18.30
Periodo espositivo
14.11.2025 – 29.03.2025
Orari
giovedì – venerdì
14.00-18.00
sabato e domenica
10.00-18.00
lunedì-mercoledì
chiuso (aperto su prenotazione per gruppi)
Chiusura invernale
dal 22 dicembre 2025 al 2 gennaio 2026
Entrata
intero: CHF / € 10.-
ridotto: CHF / € 7.-
Ingresso gratuito ogni prima domenica del mese.
MAGGIORI INFO
📷 Federico Babina, Archicards. Le Corbusier, 2016 © Federico Babina
📷 Louis Hellman, Late Corb, 2000 © Louis Hellman / RIBA Collections

« DUE ESERCIZI »
Teatro dell’architettura
Installazione realizzata dalle studentesse e dagli studenti di primo anno, a cura dell’Atelier orizzontale Blumer,
promossa dall’Accademia di architettura dell’Università della Svizzera italiana.
Gli esercizi in mostra sono il frutto del lavoro del secondo semestre dell’anno accademico 2024–2025 e del primo semestre dell’anno accademico 2025–2026. Si tratta di esercizi che si ripetono da oltre vent’anni, sempre diversi a ogni edizione, e che coinvolgono metà degli studenti del primo anno di corso Bachelor — circa 70 studenti per semestre — e che si alternano con l’Atelier orizzontale Ruf, dedicato al disegno a mano libera.
L’Atelier orizzontale Blumer si concentra da sempre su temi che riguardano il corpo, il movimento e l’evento, indagati attraverso pratiche costruttive e performative.
Gli esercizi, rigorosamente interattivi, richiedono che gli oggetti progettati siano azionati, trasportati ed esibiti con una sorta di “messa in funzione”, una verifica diretta della loro precisione costruttiva e del loro funzionamento.
Nel semestre primaverile 2025, gli studenti hanno lavorato sul tema delle “ruote campanarie”: a partire da una costruzione identica per tutti, ciascuno doveva progettare e costruire una cassa lignea capace di generare un suono grazie al movimento rotatorio e quello oscillatorio di un battacchio in legno.
Nell’atrio sono invece presentate le articolazioni mobili realizzate con profili cilindrici in legno collegati da fili di nylon e messe in moto da un pendolo. Il compito era immaginare un corpo dinamico che, azionato a mano nel ritmo dell’alternanza, si trasformasse con effetti di sorpresa e di complessità geometrica.
La formazione dei giovani architetti dell’Accademia di architettura dell’USI si attiva anche attraverso esercizi costruttivi che stimolano l’intuizione della potenzialità stesse dell’architettura attraverso fenomeni indiretti del suo esistere. Sono esercizi che uniscono abilità manuale, conoscenza dei materiali, percezione, corpo e condivisione, restituendo dell’architettura quel valore assolutamente tecnico e contemporaneamente comunitario e poetico che appartiene a quella distinzione che dobbiamo coltivare, ovvero la differenza tra edilizia e architettura.
Inaugurazione
giovedì 13 novembre 2025, ore 18.30
Periodo espositivo
14.11.2025 – 29.03. 2025
Orari
giovedì – venerdì
14.00-18.00
sabato e domenica
10.00-18.00
lunedì-mercoledì
chiuso (aperto su prenotazione per gruppi)
Chiusura invernale
dal 22 dicembre 2025 al 2 gennaio 2026
Entrata
intero: CHF / € 10.-
ridotto: CHF / € 7.-
Ingresso gratuito ogni prima domenica del mese.
MAGGIORI INFO

PETRA WEISS. La bellezza esiste
m.a.x. museo
Mostra a cura di Dalmazio Ambrosioni e Nicoletta Ossanna Cavadini.
L’artista Petra Weiss nella sua produzione iniziale esordisce attraverso la lavorazione della ceramica per poi confrontarsi con gli elementi primordiali legati alla natura: terra, acqua, aria e fuoco nel loro evolversi materico, giungendo infine, nel corso della sua ricerca artistica, a una fase più minimalista, essenziale e geometrica. La mostra a lei dedicata ne ripercorre l’iter creativo, illustrando come l’artista abbia realizzato la sua personale visione di bellezza, come immagine armoniosa e suggestiva. Dalla prima produzione dei “cubi” e delle “pile”, ieratiche sculture che evocano primordiali memorie, si passa alle “piramidi” e alle “stele frastagliate”, zolle porose in verticale e alle “stele”, lastre verticali di metallo dipinto. La fase successiva è caratterizzata da sfere spaccate denominate “meteore” che riportano alla mente mondi sconosciuti e universi di costellazioni infinite. Dalla terracotta, Petra Weiss passa alla realizzazione di sofisticati grès invetriati e ceramiche policrome, quindi alla lavorazione del marno e del bronzo. In ceramica invetriata l’artista realizza numerose opere inserite in edifici pubblici e privati, tra le quali il grande rilievo murale (11 x 28 m.), compiuto tra il 1990 e il 1992 per l’Ospedale Universitario di Zurigo. Nel 2002 l’artista ticinese si apre anche al tema della scrittura e propone eventi di scultura, danza e musica in spazi urbani o naturali (D’improvviso a Milano nel 2003 e il ciclo intitolato L’alfabeto della terra, 2003-2004). Nel 2008-2009 esegue lavori con il marmo di Arzo e con l’argilla di Riva San Vitale. La raccolta di poesie Poche parole per direviene pubblicata nel 2003 dalle Edizioni Ulivo; nel 2007 presso Pagine d’Arte esce Il viaggio dell’alfabeto, diario delle esperienze vissute dal 2000 al 2007 nell’avventuroso itinerario intrapreso con la sua articolata scultura L’alfabeto. Seguono molteplici esposizioni personali e collettive. Le sue opere si trovano in musei e in collezioni pubbliche e private, in Svizzera e all’estero. Lo Spazio Officina accoglie una sessantina di opere in ceramica, grès, marmo, bronzo e vetro che documentano l’importante ricerca di Petra Weiss sulla materia, in cinquant’anni di intensa attività. L’esposizione prevede l’installazione di una scultura permanente nel “parco delle sculture” situato dietro il museo. Il suo linguaggio plastico, nel contempo raffinato e poetico, esprime tutte le tensioni della materia lavorata e si svela ai nostri occhi grazie a due elementi cardine della scultura: il peso e la luce.
Inaugurazione
Sabato 7 febbraio 2026, ore 17.30
Spazio Officina
Periodo espositivo
08.02.2026 – 19.04.2026
Orari
martedì − domenica
10.00 − 12.00 / 14.00 − 18.00
Chiuso il lunedì.
MAGGIORI INFO
📷 Petra Weiss, Meteora, 2019 (dettaglio) © Stefano Spinelli
MAX BILL (1908-1994): LA GRAMMATICA DELLA BELLEZZA
m.a.x. museo
Mostra a cura di Karin Gimmi e Nicoletta Ossanna Cavadini.
L’esposizione si inserisce nel filone che il m.a.x. museo dedica ciclicamente ai “maestri del XX secolo” ed è collegata al tema guida dell’anno del Centro Culturale Chiasso, la pulchritudo, concetto interpretato da Max Bill attraverso un incessante lavoro di ricerca, quale espressione massima di armonia, sintesi, unità, spazio e logica. Architetto, anche se più noto come pittore, scultore, designer e grafico, Max Bill frequenta il Bauhaus negli anni 1927-1929, e da questa esperienza trae i principi fondanti per esprimere un’arte razionale, oggettiva e non figurativa, contribuendo a creare grazie a una fitta rete di relazioni personali lungo l’asse Zurigo-Milano l’innovativo fenomeno culturale della Concrete Kunst-Arte concreta. L’attività artistica, il pensiero teorico e l’insegnamento sono aspetti di un unico metodo adottato da Max Bill e basato su una visione innovativa e integrata di concetto “d’artista universale”. La mostra al m.a.x. museo pone quindi l’accento sulla centralità di questa figura rispetto al fenomeno dell’internazionalizzazione della cultura europea, con particolare riferimento, come detto, alle relazioni fra Zurigo e Milano nel periodo tra le due guerre. La Svizzera in quegli anni era infatti un crocevia culturale attraversato da molti intellettuali provenienti dall’Europa, soprattutto dall’Italia (si pensi a E.N. Rogers, L. Baldessari, V. Magistretti). Durante la ricostruzione post-bellica, Max Bill partecipa attivamente al dibattito sociale, culturale e politico in atto. Di cruciale importanza è la mostra arte astratta e concreta del 1947 a Palazzo Reale di Milano, concepita insieme a Lanfranco Bombelli Tiravanti, evento che diventa la scintilla che innesca l’aggiornamento dei linguaggi visivi nel campo delle arti e del design nella capitale lombarda e in Svizzera.
In mostra sono esposte un centinaio di sue opere pittoriche, scultoree, grafiche e di design secondo un criterio tematico-cronologico, avendo sempre come fil rouge il forte rapporto che Max Bill tenne con l’Italia, in particolare con Gillo Dorfles e il gallerista Bruno Lorenzelli, da cui provengono molte opere esposte, alcune delle quali inedite. Fondamentale è il prestito della collezione del figlio Jakob Bill. Altrettanto significativi i prestiti provenienti da importanti musei svizzeri.
Inaugurazione
Sabato 28 marzo 2026, ore 17.30
Periodo espositivo
29.03.2026 – 12.07.2026
Orari
martedì − domenica
10.00 − 12.00 / 14.00 − 18.00
Chiuso il lunedì.
MAGGIORI INFO
📷 Max Bill, senza titolo, 1969-1970